vendredi 8 juin 2018

GUSTAVE BATUBENGA, le Pinceau Prodige de la République démocratique du Congo



Gustave Batubenga Kaja (GUBAKA) est né à Lubumbashi, le 11 février 1991. Très doué pour le dessin, il commence dès le bas âge à dessiner et peaufiner les portraits de sa famille et de son entourage. «  Dès mon jeune âge,  j’avais l’habitude de profiter de toute situation et de toute surface pour peindre », dixit Gustave Batubenga.
A l’Age de 15 ans, il commence à peindre des panneaux publicitaires pour gagner un peu d’argent comme l’ont fait avant lui tant d’autres artistes peintres.
Issu d’une famille modeste, dans un monde où  le chômage est au zénith. Plusieurs questions se bousculent dans sa tête, après la mort de ses parents et de son jeune âge, il doit vite assumer les responsabilités familiales ; comment vais-je vivre de de mon art ? Malgré les difficultés de la vie ? Comment se motivé et croire en ses rêves lorsqu’on a des responsabilités envers sa famille ?
Le courage, la persévérance et la foi sont des mots qui désignent l’artiste plasticien GUBAKA. Avec détermination, il se lance dans le monde des expositions, il travaille dur pour améliorer son talent.
Il entreprend ses études tout en s’efforçant de générer les revenus et de mettre de l’argent de côté. Il obtient en 2010 son diplôme d’état en math physique et entre finalement à l’école supérieure des ingénieurs industriels de l’université de Lubumbashi et en sort en 2016 Ingénieur en génie civil, option construction industrielle.
Le portraitiste de talent, il considère le savoir qu’il possède comme étant un don de Dieu, il ne l’a pas étudié quelque part, c'est sorti de lui en se perfectionnant au fil du temps.
S’il vous arrive de visiter les œuvres de GUBAKA dans NOSTALGIE, vous serez sans doute frappés par la finesse de ses dessins.
Il faut signaler que GUBAKA a organisé sa toute première exposition individuelle, le 18 mars 2017 à la maison culturelle SAFINA(Lubumbashi) où 35 tableaux sur toile étaient à la Une avec l’immortalisation de feu Etienne TSHISEKEDI qu’il décrivait comme l’homme de gauche et le père de la démocratie…
Pour marquer sa deuxième exposition individuelle (NOSTALGIE CONGO) qu’il prépare depuis  une année, GUBAKA a réalisé une vingtaine des tableaux phares des toiles qui mettent en exergue les figures emblématiques de la politique, de la musique et de la peinture populaire qui ont participé à l’accession de l’indépendance de la RDC.
En lorgnant de plus près ses toiles, vous verrez défiler Joseph Kasavubu, patrice Emery Lumumba, joseph désiré Mobutu, Laurent désiré Kabila, joseph Kabila, Tabu ley, Papa wemba… la liste est longue. De loin comme de près, l’observateur attentif se rendra compte que les images sont fignolées avec une telle précision que la ressemblance avec les personnes réelles est frappante.
GUBAKA a implanté depuis 2015, un atelier de peinture « GUBAKA PRINT » au quartier Tabacongo, dans lequel la spécialité reste la production des portraits, panneaux publicitaires, banderoles et décoration intérieure.
L’artiste reste aussi ouvert pour toute participation à des expositions. Il recherche des nombreuses personnes pour venir le soutenir dans son projet d’encadrement des jeunes orphelins et handicapés. En plus beaucoup de partenaires pour l’aider à vivre de son art.

jeudi 20 avril 2017

Attentat sur les Champs-Élysées : ce que l'on sait



Un homme a tiré délibérément sur des policiers, en tuant un et en blessant deux grièvement avant d'être abattu. Il a été identifié. Le parquet antiterroriste est saisi. L'Etat islamique a revendiqué l'attaque

Attentat sur les Champs-Élysées : ce que l'on sait

À trois jours du premier tour de l’élection présidentielle, un policier a été tué et deux autres ont été blessés sérieusement jeudi soir, lors d’une fusillade à l’arme automatique sur les Champs-Elysées. L’échange a eu lieu non loin du magasin Marks & Spencer, près de la station de métro Franklin D. Roosevelt. Une passante a également été touchée.

L’attaque a été revendiquée très rapidement par l’Etat islamique (EI) dans un communiqué rédigé en arabe de son agence de propagande Amaq. Le groupe jihadiste a par ailleurs présenté l’assaillant présumé sous son nom de guerre : Abou Youssef al Belgiki.

Aux alentours de 22 h 15, plus d’une heure avant la revendication de l’Etat islamique, le parquet antiterroriste s’était saisi de l’enquête et avait confié les investigations à la section antiterroriste de la brigade criminelle du 36, quai des Orfèvres (SAT) ainsi qu’à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).

Selon les premiers éléments recueillis, l’homme serait né en 1977. Connu des services de police, il n’était toutefois pas sous le coup d’une fiche S (pour Sûreté de l’Etat) en cours de validité au moment des faits. Des actes d’identification étaient toujours en cours tard dans la soirée. En outre, une perquisition était en cours aux alentours de minuit en Seine-et-Marne, au domicile du tireur.

Au même moment, Matignon avait fait savoir que le Premier ministre, Bernard Cazeneuve, se rendait à l’Elysée pour faire le point avec François Hollande. A l’issue de cette réunion de crise, le président de la République a affirmé que «ces faits sont des faits terroristes». «Nous serons d’une vigilance absolue. Chacun comprendra que mes pensées vont vers la famille du policier tué» a-t-il également dit, annonçant qu’un «hommage nationale sera rendu à ce fonctionnaire de police qui a été ainsi lâchement assassiné. Nous devons tous prendre conscience que les forces de sécurité font un travail particulièrement difficile et que le soutien de la nation est total.»

L’assaillant abattu

L’assaillant, qui a été abattu par des tirs de riposte, est, selon nos informations, arrivé en voiture peu après 21 heures. Il en est sorti avant d’ouvrir le feu sur un car de police et de se mettre à courir derrière les policiers, précise-t-on de source gouvernementale. Vers 22 h 30, les policiers ont mené des perquisitions au domicile de l’assaillant dans l’Est parisien.
Les Champs-Elysées ont été coupés à la circulation dans les deux sens et la préfecture de police a émis une alerte pour demander aux Parisiens d’éviter la zone. Les stations de métro donnant sur la grande artère ont été fermées. Les cafés et les rues adjacentes ont également été évacués, alors que dans le ciel, la torche d’un hélicoptère de la police balayait les rues. Des policiers lourdement armés hurlaient quant à eux sur les passants qui s’approchaient de s’en aller.
Depuis la semaine dernière, les candidats à l’Elysée bénéficient d’une sécurité renforcée, après la découverte d’un projet d’attentat pendant la campagne. Jeudi soir, leurs équipes présentes à Saint-Cloud pour l’émission télévisée avant le premier tour ont été prévenues quasiment en direct de l’attaque sur les Champs-Elysées, via leurs gardes du corps, des policiers appartenant au Service de protection de la personne (SDLP).

Surréaliste

L’annonce de la fusillade est survenue pendant le passage de Benoît Hamon sur le plateau de France 2, donnant un côté totalement surréaliste à l’émission où il était question d’état d’urgence et de réduction du nombre de fonctionnaires. À 21 h 31, l’hypothèse d’une attaque terroriste était jugée «très probable», par une source policière citée encore par Reuters. A 22 heures, le porte-parole du ministère de l’Intérieur indiquait cependant qu’il était trop tôt pour se prononcer sur les motivations de cette attaque.
Cette attaque est survenue trois jours après l’arrestation de deux suspects à Marseille, accusés de préparer un attentat. Leur garde à vue se prolongeait jeudi soir au siège de l’antiterrorisme en région parisienne.

dimanche 18 octobre 2015

Le prix Nobel de la paix 2015 décerné au quartet parrain du dialogue national en Tunisie

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PRIX NOBEL - Le prix Nobel de la paix 2015 a été décerné au quartet parrain du dialogue national , a annoncé vendredi 9 octobre le comité norvégien.
Choisi parmi 273 candidats, le groupe – qui comprend l’Union générale tunisienne du travail, la Ligue tunisienne des droits de l’homme, l’Ordre national des avocats tunisiens et l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat, – succède ainsi à la jeune militante pakistanaise pour l'éducation des filles Malala Yousafzai et un autre militant des droits de l'enfant, l'Indien Kailash Satyarthi.
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BREAKING NEWS The 2015 Peace #NobelPrize is awarded to the National Dialogue Quartet in Tunisia pic.twitter.com/3O9jzwBK08.
— The Nobel Prize (@NobelPrize) 9 Octobre 2015.
Le quartet a été formé à l'été 2013, à un moment où le processus de démocratisation était en danger en raison d'assassinats politiques – dont celui du député de l'opposition Mohamed Brahmi, le 25 juillet – qui avaient entraîné de vastes troubles sociaux dans le pays.
Le Nobel de la paix le récompense donc "pour sa contribution décisive à la construction d'une démocratie pluraliste à la suite de la Révolution de jasmin de 2011" et son organisation longue et difficile d'un "dialogue national" entre les islamistes et leurs opposants, les obligeant à s'entendre pour sortir d'une paralysie institutionnelle.
"Un exemple et un espoir".
Le quartet a lancé "un processus politique alternatif, pacifique, à un moment où le pays était au bord de la guerre civile", a rappelé le comité. Il a donc été "crucial" pour permettre à la Tunisie plongée dans le chaos des Printemps arabes "d'établir un système constitutionnel de gouvernement garantissant les droits fondamentaux pour l'ensemble de la population, sans condition de sexe, de convictions politiques (et) de croyances religieuses", explique le comité norvégien.
Les lauréats du Nobel "montrent la voie" pour sortir des crises régionales, a commenté l'Union Européenne en adressant ses félicitations à ce groupe d'organisation au même moment que François Hollande. La récompense est "un exemple et un espoir", s'est réjoui Laurent Fabius.

mercredi 16 septembre 2015


Par quelles étapes l’enfant passe-t-il pour acquérir le langage ? Quel rôle les histoires jouent-elles dans son développement ? Y a-t-il des méthodes de lecture et d’écriture plus efficaces ? Comment traiter les troubles du langage ? Le bilinguisme est-il toujours un atout ? Ce dossier part de questions simples et fondatrices, auxquelles il apporte des réponses à la fois synthétiques et renouvelées. Car l’étude du langage est aujourd’hui l’un des domaines de recherche les plus actifs et les plus passionnants. Il connaît une révolution sous-terraine sous l’essor des neurosciences, des sciences cognitives, mais aussi des sciences de la communication et des comparaisons interlangues. Des techniques nouvelles, issues de l’imagerie cérébrale ou de l’étude des compétences précoces du nourrisson, viennent relancer le débat sur l’inné et l’acquis. L’orthophonie, en plein boom, apporte aussi sa pierre à l’édifice des sciences du langage. Tout comme l’école, qui part à l’assaut de nouvelles méthodes et expérimentations pour corriger les inégalités linguistiques entre enfants. Des fenêtres s’ouvrent. Elles n’éventent pas encore entièrement le secret du langage : rien ne reste plus difficile à décrypter que cette prodigieuse capacité qu’ont les humains à s’adresser les uns aux autres, par mots, par lettres, par signes… Mais la recherche, en l’état, est déjà porteuse de réponses circonstanciées. Elles en disent long, au-delà du langage, sur le développement de l’intelligence humaine, ses failles et ses lumières.

mercredi 26 août 2015

HYPERFREQUENCES



D'après la définition la plus couramment admise, les hyperfréquences représentent des ondes électromagnétiques dont la longueur d'onde est de l'ordre du centimètre, et que l'on utilise notamment en technique radar et en transmission hertzienne

. En fait, les hyperfréquences (appelées encore ondes U.H.F., initiales de ultra high frequencies) débordent largement les longueurs d'onde centimétriques, tant du côté des ondes décimétriques que du côté des ondes millimétriques. Les limites en fréquence sont donc très floues. Les utilisateurs ont pris coutume de caractériser par des symboles alphanumériques certaines « bandes » de fréquences particulièrement utilisées (bandes P, L, S, C, X, K, K1, KU, Q, V et W, centrées respectivement autour des fréquences 0,3, 1, 3, 5, 8, 23, 20, 16, 41, 51 et 78 GHz)

. Le radar a beaucoup contribué au développement des hyperfréquences : les études faites pendant et après la Seconde Guerre mondiale, au Massachusetts Institute of Technology ont conduit à la mise au point d'ouvrages consacrés au fondement, à la technologie et aux techniques de mesure des hyperfréquences. Par la suite, de nouveaux domaines d'utilisation sont apparus, par exemple dans les télécommunications spatiales ou terrestres par faisceau hertzien et dans les appareils de contre-mesures (capables de détecter une émission U.H.F. quelconque et de la brouiller)

. L'introduction des dispositifs à semiconducteurs et des ferrites a fait entrer le domaine des U.H.F. dans une phase de renouvellement perpétuel, avec pour tendances principales l'emploi de matériaux à l'état solide et la miniaturisation

. . Générateurs d'hyperfréquences

. • Tubes générateurs d'hyperfréquences

. Le magnétron
. Le magnétron est le premier en date des générateurs d'hyperfréquences (Začek, 1924). Sa structure est celle d'une diode en forme de cylindre. Après les stades successifs d'anodes pleines, puis fendues, les anodes possèdent actuellement des cavités cylindriques. Un champ magnétique de plusieurs dixièmes de tesla est appliqué parallèlement à l'axe de symétrie

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lundi 24 août 2015

LE BARRAGE GRAND INGA

Le barrage Grand Inga est un projet hydroélectrique sur le Congo en République démocratique du Congo. Il serait établi à proximité du site des chutes d'Inga dans la province du Bas-Congo, à une trentaine de kilomètres au nord de la ville de Matadi. Deux barrages, Inga I et Inga II existent déjà sur le site.

Il existe un autre projet pour un troisième barrage, dénommé projet Inga III, qui profiterait du site des barrages Inga I et Inga II. Le projet Grand Inga est d'une autre nature, puisque nécessitant d'importants travaux et investissements complémentaires à Inga I, II, et III.

Inga I, II, et III
Inga I, II, et III ont été ou devraient être construits en rive droite du fleuve, profitant du Nkokolo, une vallée sèche ancien lit du fleuve. Ses berges atteignaient, avant mise sous eau, 150 mètres de haut au niveau des chutes d'Inga, parallèles au site. Il est utilisé pour alimenter en eau Inga I et Inga II, éventuellement Inga III.

Un barrage, le barrage de Shongo, a permis de mettre sous eau le Nkokolo. L'eau est captée à 10 kilomètres en amont du site du barrage Inga II, à une altitude de 125 mètres, pour atteindre 115 mètres au niveau du bief alimentant les barrages Inga I et Inga II. Un canal d'une longueur de quelques centaines de mètres, situé à l'ouest du barrage Inga I (45 mètres de dénivelé, 115-70 mètres), alimente le barrage Inga II (50 mètres de dénivelé, 115-65 mètres). Un canal creusé en amont des deux autres barrages permettrait d'établir le barrage Inga III en contrebas des deux autres, et d'ainsi bénéficier d'un dénivelé de 55 mètres (115-60 mètres). Les 3 barrages développeraient ainsi une puissance totale de 6 275 MW à pleine puissance (Inga I et II fonctionnent actuellement à environ 20 % de leur capacité, et Inga III n'existe pas encore).

Grand Inga

Le barrage Grand Inga permettrait quant à lui la constitution d'une centrale d'une puissance de 39 000 MW. Le projet prévoit la construction d’un barrage en amont de la prise d’eau de Nkokolo, qui permettrait de générer une retenue d’eau à une altitude de 200 mètres (contre 125 mètres actuellement au même endroit) dans la vallée de la rivière Bundi, qui serait elle-même barrée quelques kilomètres plus loin par un barrage au niveau de son confluent avec le Congo (actuellement à 45 mètres d’altitude). Entre la retenue d’eau et le fleuve, désormais 155 mètres de dénivelé sur le deuxième fleuve le plus puissant du monde. Une centrale construite là aurait une puissance de 39 000 MW, soit le double du potentiel du barrage des Trois-Gorges sur le Yangzi Jiang, pour un investissement et des coûts écologiques sensiblement moindres qu’aux Trois-Gorges, à Assouan ou Itaipu.

In fine, le total du complexe des barrages d'Inga (parfois dénommé lui-même "Grand Inga") comprendrait 4 unités de production, pour une puissance totale de 45 275 MW répartie comme suit :
Inga I (fonctionnant actuellement à 20% de ses capacités, 45 mètres de chute) : 351 MW
Inga II (fonctionnant actuellement à 20% de ses capacités, 50 mètres de chute): 1 424 MW
Inga III (en projet, 55 mètres de chute) : 4 500 MW
Grand Inga / centrale de la Bundi (en projet, 155 mètres de chute) : 39 000 MW
Opposition au projet
Certains observateurs remettent en cause le projet pour son coût très élevé (estimé entre 80 et 100 milliards de dollars2) dans un pays connu pour sa corruption endémique, et qui risque donc de peu profiter à la population3. De plus, des milliers d'hectares de forêt seraient immergés, ce qui nuirait grandement à la biodiversité et aux écosystèmes locaux.

dimanche 23 août 2015

Ayoub El-Khazzani, la mue d’un petit délinquant en islamiste radical

Petit délinquant, islamiste radical, vendeur de téléphonie. Tel est le parcours d’Ayoub El-Khazzani en Espagne où il a vécu pendant sept ans, entre 2007 et 2014. Interpellé trois fois pour trafic de drogue, fiché en 2012 par le renseignement espagnol qui le soupçonne d’avoir basculé dans l’intégrisme, le jeune homme de 25 ans vit d’abord à Madrid puis à Algésiras, dans l’extrême sud du pays. C’est là qu’il se fait embaucher par Lycamobile, une compagnie de téléphonie britannique « spécialisée dans les communautés d’expatriés » et des offres de communication low cost, qui lui propose de partir en France.

Elle lui offre un contrat de six mois pour travailler en Seine-Saint-Denis en janvier 2014, confirme une source du ministère de l’intérieur espagnol. Madrid prévient alors le renseignement français d’une éventuelle arrivée d’El-Khazzani sur le territoire. Il serait alors parti avec d’autres jeunes de son quartier « vendre des téléphones aux Marocains » et plus précisément des cartes SIM rechargeables, explique l’un de ses anciens voisins, qui préfère garder l’anonymat.

Peu après leur arrivée en France, Ayoub et ses amis auraient été licenciés. « Après un mois, ils ont été mis à la porte. [Ayoub] est en France, plus en Espagne. Qu’est-ce qu’il était supposé faire ? Qu’est-ce qu’il était supposé manger ? Ce sont des criminels dans cette entreprise d’utiliser les personnes comme cela », a déclaré son père, Mohamed El-Khazzani au quotidien britannique The Telegraph. Son fils se serait alors rendu en Belgique...

GUSTAVE BATUBENGA, le Pinceau Prodige de la République démocratique du Congo

Gustave Batubenga Kaja (GUBAKA) est né à Lubumbashi, le 11 février 1991. Très doué pour le dessin, il commence dès le bas âge à dessine...